Invité Invité  | | Sujet: (F/LIBRE) SHAILENE WOODLEY ~ together we're unlimited Mer 18 Juin - 21:25 | |
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 ☆ ☆ ☆If you ever find yourself stuck in the
middle of the sea, I'll sail the world to find you
If you ever find yourself lost in the dark and
you can't see, I'll be the light to guide you.walvever@tumblr ☆ bruno mars@count on me Briséis Redford 21 ans ○ canonsburg, maryland ○ au choix
études de langues au choixBriséis est la benjamine d'une des deux branches de la famille Redford, une des familles fondatrices de Canonsburg. ☆ Elle a toujours vécu à Canonsburg et, contrairement à son frère Isaac, elle aimerait beaucoup pouvoir vivre à l'étranger ne serait-ce que quelques temps puis revenir vivre ici. ☆ Elle a toujours eu un certain attachement pour sa famille et pour cette ville, surement parce que ses parents lui l'ont toujours pousser à aimer ses origines. ☆ Elle est très intelligente, ce qui a toujours frustré Isaac. Elle réussi tout ce qu'elle entreprend, surtout niveau étude. ☆ Elle a toujours aimé la culture étrangère, elle est très curieuse. C'est pour cela qu'elle étudie une/plusieurs langue(s) étrangère(s) à l'université. ☆ Depuis que sa tante est morte pendant la fusillade, sa famille s'éloigne petit à petit, et elle ne supporte pas de ne rien pouvoir faire. Tout ce qu'elle peut faire, c'est se débrouiller pour garder de bons liens avec son frère. ☆ Le reste de l'histoire est libre. Vous pouvez si vous le souhaitez la lier à une autre des victimes, c'est pour cela que le groupe est aussi libre. Briséis et Isaac se sont toujours bien entendu, mais ils se sont énormément rapproché il y a un an, après la fusillade. Alors que toute leur famille s'éloigne peu à peu, les deux jeunes se rapprochent. Petit à petit, Isaac se confit à elle, ce qu'il n'avait jamais fait jusqu'à présent.
« J’ai déjà du mal à gérer ma famille. Je ne suis pas censé en parler, ne dites surtout pas à mon père que je vous l’ai dit mais depuis la mort de ma tante Renée, elle aussi assassinée lors de la fusillade, la famille Redford est tout sauf une famille unie. On l’était, avant. Je ne dis pas que je les aimais, mais on était soudés, un minimum du moins. On, comment dire ? On se supportait. Mais maintenant… C’est tout juste si je peux rester dans la même pièce que ma mère dix minutes sans qu’elle m’hurle dessus. Oui, je sais, ça ne se voit pas. C’est drôle, quand on est en ville et que mon père doit saluer son frère et discuter avec lui alors que, la veille, il vient de lui balancer toutes les vacheries du monde. Il n’y a que ma sœur qui est restée ma sœur. On aimait notre tante mais, elle est un peu comme moi. Elle ne porte pas d’attachement spécial à notre famille. Ils sont tous hypocrites, et plus le temps passe, plus ils sont hypocrites. Mais je reste chez eux parce que, ce serait dommage qu’on me coupe les vivre, vous ne pensez pas ? Notre maison est immense et j’ai toute une partie pour moi seul. J’y fais ce que je veux, j’invite qui je veux. Je peux même y faire des fêtes dans le jardin. Et puis, mes parents me payent ce que je veux. Ils pensent que ça pourrait me calmer, me canaliser. Ils sont débiles. Comme si une nouvelle voiture pourrait me faire aimer qui que ce soit. J’ai plus d’attachement à mes voitures qu’à mes parents. Non. Je n’exagère pas. Vous n’aimeriez pas vivre dans ma famille. (...) » |
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